Réalisé par Jennifer Baichwal |
Canada, 2011 (documentaire, 86 minutes, couleurs, anglais) |
Image : © Mongrel Media |
Vidéo (Office national du film du Canada) [anglais] |
Description du film : « Inspiré de l'ouvrage à succès de Margaret Atwood Comptes et légendes, la dette et la face cachée de la richesse, le long métrage documentaire de Jennifer Baichwal présente la dette sous une perspective fascinante en la décrivant comme une construction de l'imaginaire, et observe son influence sur les relations, les sociétés, les structures dirigeantes et le sort de la planète. Le film examine le lien entre débiteur et créancier dans divers contextes — des montagnes du nord de l'Albanie aux champs de tomates du sud de la Floride — et associe les commentaires de penseurs renommés tels Karen Armstrong, Louise Arbour, William Rees et Raj Patel à d'incroyables histoires sur le thème de l'endettement. Récits et réflexions s'entrelacent aisément grâce aux fines observations de Margaret Atwood, qui démontre que, au coeur de l'expérience humaine, se trouve le concept de « dette », et que notre perception de celui-ci influe sur son mécanisme. » -- Office national du film du Canada (source) |
Générique (partiel) : | |
Scénario : | Jennifer Baichwal |
Source originale : | Payback: Debt and The Shadow Side of Wealth, un livre de Margaret Atwood |
Produit par : | Ravida Din |
Participants : | Louise Arbour, Karen Armstrong, Margaret Atwood, Conrad Black, Raj Patel, William Rees, Gjon Biba, Gjergi Lala, Agim Loci, Gjin Marku, Donika Prenaga, Gjin Prenaga, Liliana Prenaga, Llesh Prenaga, Lorenco Prenaga, Pashke Prenaga, Ilir Prenga, Petrit Prenga, Zef Sinani, Florence Barran, Paul Mohammed, Francis Dolan, Lucas Benitez, Gerardo Reyes Chavez, Jon Esformes, Gregorio Venegas, Casi Callaway, Rodney Lyons |
Images : | Nick de Pencier |
Montage images : | Nick Hector |
Musique : | Martin Tielli |
Société de production : | National Film Board of Canada / Office national du film du Canada |
« Payback, il est vrai, ratisse large. Mais [Jennifer] Baichwal surfe avec équilibre et souplesse sur une marée d'idées et de concepts poétiques, abstraits, révélant, chemin faisant, une perte de sens entre la responsabilité de l'individu et la responsabilité sociale. »
-- Martin Bilodeau
(source)